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21/05/2025
Citation de différentes Traductions de la Bible en français
Évangile selon Luc : chapitre 18 verset 13
Traduction Frédéric Gain
© 2020-2022 - Éditions L'Harmattan
  De son côté, le percepteur se tenait loin et n’osait même pas lever les yeux vers le ciel ; au contraire, il se frappait la poitrine en disant : Mon Dieu, aie pitié du pécheur que je suis ! (Luc 18:13)  
Nouvelle Bible Français Courant
© 2019 - Éditions Bibli'O
  Le collecteur d'impôts, lui, se tenait à distance et n'osait pas même lever les yeux vers le ciel, mais il se frappait la poitrine et disait : “Mon Dieu, prends pitié de moi, qui suis un pécheur.”  (Luc 18:13)  
Traduction du Monde Nouveau
© 2018 - Watchtower Bible & tract society of Pennsylvania
  Le collecteur d’impôts, lui, se tenait à une certaine distance et ne voulait même pas lever les yeux vers le ciel. Il se frappait la poitrine en disant : “Ô Dieu, aie pitié de moi, qui suis un pécheur.” (Luc 18:13)  
Traduction littérale Alain Dumont
© 2015 - Alain Dumont
  Cependant, l’acquitteur-de-redevances, se-trouvant-s’être-tenu à-distance, ne voulait pas-même élever les yeux envers le ciel, mais il se-frappait la poitrine en-parlant-ainsi : Ô Dieu, sois-favorable-en-miséricorde pour moi, le pécheur. (Luc 18:13)  
Traduction officielle Liturgique
© 2013 - Association Épiscopale Liturgique pour les pays Francophones
  Le publicain, lui, se tenait à distance et n’osait même pas lever les yeux vers le ciel ; mais il se frappait la poitrine, en disant : “Mon Dieu, montre-toi favorable au pécheur que je suis !” (Luc 18:13)  
Traduction Œcuménique de la Bible
© 2010 - Éditions du Cerf & Bibli'O
  Le collecteur d’impôts, se tenant à distance, ne voulait même pas lever les yeux au ciel, mais il se frappait la poitrine en disant : “O Dieu, prends pitié du pécheur que je suis.”  (Luc 18:13)  
Traduction Sylvie Chabert d'Hyeres / Codex Bezæ
© 2009 - Éditions L'Harmattan
  Et le publicain, se tenant à distance, ne voulait pas même lever les yeux vers le ciel, mais il se frappait la poitrine en disant: Dieu, sois rendu favorable à moi le pécheur. (Luc 18:13)  
Traduction Claude Tresmontant
© 2007 - Éditions François-Xavier de Guibert
  quant au percepteur des impôts
il se tenait debout au loin
et il ne voulait même pas lever les yeux vers les cieux
mais il se frappait la poitrine et il disait
dieu
pardonne-moi
moi [qui suis] l'homme en faute (Luc 18:13)
 
Bible Segond 21
© 2007 - Société Biblique de Genève
  Le collecteur d'impôts, lui, se tenait à distance et n'osait même pas lever les yeux au ciel, mais il se frappait la poitrine en disant: 'O Dieu, aie pitié de moi, qui suis un pécheur.' (Luc 18:13)  
Bible des Peuples
© 2005 - Éditions du Jubilé
  Le publicain, lui, se tenait à distance : il n’osait même pas lever les yeux vers le ciel, mais il se frappait la poitrine et disait : Ô Dieu, aie pitié du pécheur que je suis ! (Luc 18:13)  
Nouvelle Bible Segond
© 2002 - Société Biblique Française
  Le collecteur des taxes, lui, se tenait à distance; il n'osait même pas lever les yeux au ciel, mais il se frappait la poitrine et disait: « O Dieu, prends en pitié le pécheur que je suis ! » (Luc 18:13)  
Bible Parole de vie
© 2000 - Société Biblique Française
  L'employé des impôts reste derrière, il ne veut même pas lever les yeux vers le ciel. Mais il se frappe la poitrine pour demander pardon et il dit : “Mon Dieu, aie pitié de moi ! Je suis un homme pécheur.”  » (Luc 18:13)  
Bible du Semeur
© 2000 - Société Biblique Internationale
  Le collecteur d’impôts se tenait dans un coin retiré, et n’osait même pas lever les yeux au ciel. Mais il se frappait la poitrine et murmurait: "O Dieu, aie pitié du pécheur que je suis!" (Luc 18:13)  
Bible Pastorale de Maredsous
© 1997 - Éditions de Maredsous
  Le publicain, lui, restant à distance, n'osait même pas lever les yeux au ciel; il se frappait la poitrine en disant: Ô Dieu, aie pitié du pécheur que je suis! – (Luc 18:13)  
Traduction du Monde Nouveau
© 1995 - Watchtower Bible & tract society of Pennsylvania
  Or le collecteur d’impôts, se tenant à distance, ne voulait même pas lever les yeux vers le ciel, mais il se frappait la poitrine, en disant : ‘ Ô Dieu, sois miséricordieux envers moi, un pécheur. ’ (Luc 18:13)  
Bible du Roi Jacques / King James Version
© 1994 - Nadine L. Stratford & Bible des Réformateurs
  Et le publicain, se tenant éloigné, n'osait pas même lever ses yeux au ciel, mais il se frappait la poitrine, disant: Dieu, sois miséricordieux envers moi qui suis pécheur. (Luc 18:13)  
Traduction Sœur Jeanne d'Arc
© 1992 - Éditions Desclée de Brouwer
  Le taxateur se tient à distance :
il ne veut même pas lever les yeux au ciel,
mais il se frappe la poitrine et dit :
"Ô Dieu, soit propice pour moi, le pécheur !" (Luc 18:13)
 
Bible en français courant
© 1982 - Société Biblique française
  Le collecteur d'impôts, lui, se tenait à distance et n'osait pas même lever les yeux vers le ciel, mais il se frappait la poitrine et disait: “O Dieu, aie pitié de moi, qui suis un pécheur.” (Luc 18:13)  
Traduction officielle Liturgique
© 1980 - Association Épiscopale Liturgique pour les pays Francophones
  Le publicain, lui, se tenait à distance et n'osait même pas lever les yeux vers le ciel ; mais il se frappait la poitrine, en disant : 'Mon Dieu, prends pitié du pécheur que je suis !' (Luc 18:13)  
Traduction Les Évangiles de l’ACÉBAC
© 1980 - Association Catholique des Études Bibliques Au Canada
  Le collecteur d'impôts, lui, se tenait à distance et n'osait pas même lever les yeux vers le ciel, mais il se frappait la poitrine et disait: «O Dieu, aie pitié de moi, qui suis un pécheur.» (Luc 18:13)  
Bible à la Colombe
© 1978 - Alliance Biblique Universelle
  Le péager se tenait à distance, n'osait même pas lever les yeux au ciel, mais se frappait la poitrine et disait : O Dieu, sois apaisé envers moi, pécheur. (Luc 18:13)  
Bible Chouraqui
© 1977 - Éditions Desclée de Brouwer
  Le gabelou se tient à distance et ne veut même pas lever les yeux au ciel. Mais il se frappe la poitrine et dit: ‹ Elohîms, secours-moi, moi le fauteur ! › (Luc 18:13)  
Traduction Œcuménique de la Bible
© 1976 - Les Éditions du Cerf
  Le collecteur d'impôts, se tenant à distance, ne voulait même pas lever les yeux au ciel, mais il se frappait la poitrine en disant: ‹O Dieu, prends pitié du pécheur que je suis.› (Luc 18:13)  
Bible Osty & Trinquet
© 1970-1973 - Éditions Rencontre
  Le publicain, se tenant au loin, ne voulait même pas lever les yeux au ciel, mais il se frappait la poitrine, en disant: O Dieu, prends en pitié le pécheur que je suis! (Luc 18:13)  
Bible de Jérusalem
© 1973 - Les Éditions du Cerf
  Le publicain, se tenant à distance, n'osait même pas lever les yeux au ciel, mais il se frappait la poitrine, en disant: Mon Dieu, aie pitié du pécheur que je suis! (Luc 18:13)  
Bible Pirot & Clamer
© 1953 - Éditions Letouzey & Ané
  Quant au publicain, restant à distance, il n'osait même pas lever les yeux vers le ciel, mais il se frappait la poitrine, en disant: Aie pitié du pécheur que je suis. (Luc 18:13)  
Bible Tamisier & Amiot
• 1950 - Club bibliophile de France & Club du Livre
  Le publicain, au contraire, se tenant éloigné, n’osait pas même lever les yeux au ciel ; mais il se frappait la poitrine, en disant : Mon Dieu, ayez pitié de moi, qui suis un pécheur. (Luc 18:13)  
Traduction Abbé Crampon
• 1920-1923
  Le publicain, se tenant à distance, n'osait pas même lever les yeux au ciel; mais il se frappait la poitrine en disant: " O Dieu, ayez pitié de moi le pécheur ! " (Luc 18:13)  
Version Synodale
• 1921 - Société Biblique de France
  Le péager, se tenant éloigné, n'osait pas même lever les yeux au ciel; mais il se frappait la poitrine, en disant: O Dieu, sois apaisé envers moi, qui suis un pécheur! (Luc 18:13)  
Traduction Louis Segond
• 1910
  Le publicain, se tenant à distance, n'osait même pas lever les yeux au ciel; mais il se frappait la poitrine, en disant: O Dieu, sois apaisé envers moi, qui suis un pécheur. (Luc 18:13)  
Traduction Abbé Glaire
• 1900 - Bible Glaire & Vigouroux
  Et le publicain, se tenant éloigné, n’osait pas même lever les yeux au ciel ; mais il frappait sa poitrine, en disant : O Dieu, ayez pitié de moi, qui suis un pécheur. (Luc 18:13)  
Bible Annotée de Neufchâtel
• 1899
  Mais le péager, se tenant à distance, n'osait pas même lever les yeux au ciel; mais il se frappait la poitrine, en disant: Dieu! sois apaisé envers moi, qui suis pécheur! (Luc 18:13)  
Traduction Abbé Fillion
• 1895
  Et le publicain, se tenant éloigné, n'osait pas même lever les yeux au Ciel; mais il frappait sa poitrine, en disant: O Dieu, ayez pitié de moi, qui suis un pécheur. (Luc 18:13)  
Traduction Stapfer
• 1889
  Quant au publicain, il se tenait à distance, il n'osait pas même lever les yeux vers le ciel, mais il se frappait la poitrine en disant: «Dieu, aie pitié de moi qui suis un pécheur!» (Luc 18:13)  
Traduction John Nelson Darby
• 1885
  Et le publicain, se tenant loin, ne voulait même pas lever les yeux vers le ciel, mais se frappait la poitrine, disant : Ô Dieu, sois apaisé envers moi, pécheur ! (Luc 18:13)  
Bible d'Ostervald
• 1881
  Mais le péager, se tenant éloigné, n'osait pas même lever les yeux au ciel; mais il se frappait la poitrine, en disant: O Dieu, sois apaisé envers moi qui suis pécheur! (Luc 18:13)  
Traduction Oltramare
• 1874
  Et le publicain, se tenant à distance, ne se permettait pas même de lever les yeux au ciel; mais il se frappait la poitrine, en disant: «Dieu, sois apaisé envers moi, qui suis un pécheur.» (Luc 18:13)  
Bible Bourassé & Janvier
• 1866 - Alfred Mame & Fils
  Le publicain, au contraire, se tenant éloigné, n’osait pas même lever les yeux au ciel ; mais il se frappait la poitrine, en disant : Mon Dieu, ayez pitié de moi, qui suis pécheur. (Luc 18:13)  
Traduction Albert Rilliet
• 1858
  Mais le publicain se tenant à distance ne se permettait pas même de lever les yeux vers le ciel, mais il se frappait la poitrine en disant: « O Dieu, aie compassion de moi qui suis pécheur! » (Luc 18:13)  
Traduction Abbé de Lamennais
• 1851
  Et le publicain, se tenant loin, n’osait pas même lever les yeux au ciel ; mais il frappait sa poitrine, disant : Mon Dieu, ayez pitié de moi qui suis un pécheur. (Luc 18:13)  
Traduction Lemaistre de Sacy
• 1759
  Le publicain, au contraire, se tenant éloigné, n’osait pas même lever les yeux au ciel; mais il frappait sa poitrine, en disant: Mon Dieu, ayez pitié de moi qui suis un pécheur. (Luc 18:13)  
Traduction David Martin
• 1744
  Mais le péager se tenant loin, n'osait pas même lever les yeux vers le ciel, mais frappait sa poitrine, en disant : ô Dieu ! sois apaisé envers moi qui suis pécheur ! (Luc 18:13)  

Vulgate latine - Jérôme de Stridon
• 405
  et publicanus a longe stans nolebat nec oculos ad caelum levare sed percutiebat pectus suum dicens Deus propitius esto mihi peccatori (Luc 18:13)  
Version grecque
• 1881 - Westcott & Hort
  ο δε τελωνης μακροθεν εστως ουκ ηθελεν ουδε τους οφθαλμους επαραι εις τον ουρανον αλλ ετυπτεν το στηθος εαυτου λεγων ο θεος ιλασθητι μοι τω αμαρτωλω (Luc 18:13)  
Version hébraïque
• Traduction courante
  והמוכס היה עמד מרחוק ולא אבה אף לשאת את עיניו לשמים כי אם תופף על לבו לאמר אלהים סלח לי החוטא׃ (Luc 18:13)  
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